Nous la trouverons ensemble lors d’un entretien personnel.
M. Kizilaslan, nous sommes aujourd’hui chez vous dans le Toggenburg, mais c’est dans le Rheintal que vous avez connu votre conseiller. Comment est née cette relation client?
Bilal Kizilaslan: En 2007, j’ai quitté l’Allemagne pour m’installer en Suisse, et il me fallait une assurance pour ma voiture. C’est un collègue qui m’a conseillé Hans Peter Stangl. Je me suis rendu directement à l’agence de Widnau. C’est comme ça qu’a commencé la relation client, par cette recommandation. Il m’accompagne depuis lors.
Tout a donc commencé avec une assurance auto. Comment en êtes-vous arrivés à la solution de prévoyance?
Bilal Kizilaslan: «Hampi» me disait déjà à l’époque que je devrais protéger ma vie comme je protégeais ma voiture. Il est toujours très proche de ses interlocuteurs. C’est quelque chose que j’apprécie. Je lui ai très vite fait confiance et il m’a dit: «Si tu commences à épargner quand tu es jeune, il te restera quelque chose pour plus tard.»
M. Stangl, quel rôle jouent le conseil et l’accompagnement dans la planification financière en matière de prévoyance?
Hans Peter Stangl: Le rôle d’un conseiller en assurances doit toujours être d’éviter les pertes financières à ceux qu’il accompagne. Un conseil responsable, le désir de réussir à exaucer les souhaits de ses clients et une constance dans l’accompagnement: voilà tout ce qui compte. Dans la prévoyance, nous devons aborder les différents sujets de manière réfléchie et pérenne avec nos clients. Comme le dit l’adage: «Qui veut construire de hautes tours doit travailler longtemps sur les fondations.» Pour moi, conseiller les clientes et clients, c’est une vocation. Je donne le meilleur de moi-même chaque jour.
En tant que client, qu’est-ce qui compte le plus en matière de conseil, surtout lorsqu’il s’agit de sujets très personnels?
Bilal Kizilaslan: La confiance est essentielle, comme le fait de savoir que mes objectifs et mes besoins personnels sont au coeur de la relation de conseil. Cela n’est possible que si nous prenons tous les deux le temps et que mon conseiller donne la priorité à mes besoins. Je suis reconnaissant à «Hampi» de ne m’avoir jamais orienté vers des produits dont je n’avais pas besoin et toujours vers des solutions compatibles avec mes finances. Il m’a toujours dit: «Commence modestement, tu pourras toujours revoir les montants à la hausse». Ce conseil pérenne est une des raisons pour lesquelles je lui fais confiance depuis toutes ces années.
Vous rêviez depuis toujours de devenir propriétaire, c’est le cas depuis peu. Comment cela s’est-il passé?
Bilal Kizilaslan: En plus d’une assurance vie liée à des fonds de placement (pilier 3a) chez Allianz, «Hampi» m’a aussi recommandé un produit flexible du pilier 3b pour me constituer un capital et avoir une certaine marge au cas où j’aurais un jour besoin d’argent ou d’une garantie. L’idée était de pouvoir investir le capital épargné dans des produits bancaires pour m’aider à financer mon projet immobilier. Entre-temps, mon emploi de conseiller client au sein d’une banque m’a permis d’augmenter la part d’épargne, mais le risque reste garanti par l’assurance. Pour un père de famille, il est indispensable de s’assurer contre les risques comme l’incapacité de gain ou le décès.
Avec son vaste réseau d’agences, Allianz mise sur la proximité avec les clients et l’ancrage régional. Quelle importance attachez-vous à la proximité?
Bilal Kizilaslan: Je n’ai jamais douté du fait que «Hampi» était à mes côtés, y compris quand j’ai quitté le Rheintal pour le Toggenburg. Et je n’ai jamais envisagé de confier mes assurances à quelqu’un d’autre. Je crois à la confiance, à l’équité et à la loyauté.
M. Stangl, continuer d’accompagner vos clients de longue date même lorsqu’ils déménagent dans une autre région, est-ce quelque chose d’important et d’évidentpour vous?
Hans Peter Stangl: C’est très important! J’ai tenu à accompagner Bilal même quand il a choisi de quitter le Rheintal. J’adore voir évoluer mes clientes et clients, les voir fonder une famille, réaliser leurs souhaits et leurs rêves, et j’adore les suivre dans les différents changements qu’ils traversent. Construire une relation client se fait toujours sur le long terme.
Avez-vous d’autres besoins en matière d’assurance dont vous souhaiteriez parler avec votre conseiller?
Bilal Kizilaslan: Nous avons réalisé une analyse de prévoyance et passé en revue mon assurance de rente actuelle. Il est très important pour moi d’être assuré, ainsi que ma famille, en cas d’incapacité de gain, pour pouvoir continuer de vivre dans notre maison. «Hampi» et moi discutons régulièrement, au moindre changement. Récemment, par exemple, je l’ai contacté pour notre nouveau vélo électrique. Nous avons aussi assuré la maison et les annexes. Nous prendrons également rendez-vous pour la prévoyance des enfants.
Vous exercez ce métier depuis 22 ans. Qu’est-ce qui fait son essence, et qu’est-ce qui vous anime?
Hans Peter Stangl: Ce qui est important pour moi, c’est de proposer la bonne solution à toutes mes clientes et tous mes clients, en tenant compte de leurs capacités financières. La vie est faite de hauts et de bas, mais je veux être à leurs côtés en toutes circonstances. Avec un accompagnement personnalisé et proche des gens. J’ai vécu beaucoup de choses au cours de mes 22 années de carrière, des événements heureux comme l’achat du premier logement mais aussi des coups durs. Mes clients ont toujours pu compter sur moi. Notre métier consiste à offrir cette sécurité aux clients, à chaque instant. Allianz se targue d’offrir un conseil à 360 degrés.
Quelle importance attachez-vous à cette notion de conseil global?
Hans Peter Stangl: L’approche de conseil global d’Allianz est une composante importante de notre travail, notamment pour ce qui touche à la prévoyance. Les clientes et clients doivent avoir une vue d’ensemble de toutes leurs solutions d’assurance, et être en mesure de les adapter à leurs besoins. Cette idée de vue d’ensemble est importante, car ainsi les clients voient comment les différents produits couvrent leurs besoins, mais aussi les éventuelles lacunes et les chevauchements, ce qui offre des possibilités d’optimisation en fonction de leurs priorités et objectifs individuels. Je suis convaincu que l’approche d’Allianz en matière de conseil est la meilleure qui soit pour nos clientes et clients.